Browsing by Author "Tyszka, Zbigniew"
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Item Człowiek i rodzina w XXI wieku. Czas nadziei czy cywilizacja udrąki?(Wydawnictwo Naukowe UAM, 2001) Tyszka, ZbigniewThe developed countries are entering the postindustrial epoch of the 21st century now. The automatozation will make its progress and next to it the a cyborgization” o f production and services, connected with scientific and technological development, especially in the field of most modern branches of technology (electronics, computing industry, modern medicine, and the development of contemporary media leading to the virtualization). Constantly growing exchange of information, the medialization of modern societies, the interweaving of real world with virtual one - all of this are the factors which will change the existence of families and individuals. We may expect futher progress of socjal atomization and the loosening of links within nuclear family and extended family. Divorces will be coming to life even more frequently, and the number of informal relationships (provided, from the sociological point of view, with family-like traits) will grow, as well as the number of incomplete families (without mother or father) and the number of individuals not sharing their living space with anyone. The basic need which supports the survival of family will be yearning for having close human relation with someone else.Item Delimimitacja regionów według czynników płodności małżeńskiej w Polsce(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1977) Tyszka, ZbigniewA la base de chaque recherche sociologique on constate plus ou moins consciement (et dans les cas extrêmes inconsciement) acceptées les règles de la procédure de recherche à un grand degré de la généralité. En général elles démontrent des connexions avec des conceptions théorétiques déterminées mettant en ordre des faits et des phénomènes liées aux structures et procès de la vie sociale. Il faut donc tendre à une précision consciente, à systématiser et à l'application rationnelle des règles plus générales de l'analyse des familles contemporaines et de leurs aspects particuliers. La première de l'analyses de la famille que je veux proposer est enfermée dans un degré prépondérant dans la définition proposée par moi de l'objet de recherches de la sociologie de la famille. A mon avis la sociologie de la famille est une subdiscipline de la sociologie détaillée traitant sur les aspects sociaux objectifs et subjectifs de la famille comme un groupe social et l'institution sociale, s'occupant de la structure intérieure de la famille ainsi que de leurs procès intérieurs, et aussi leurs liens avec la dynamique micro et macrostructure sociale conçue dans le contexte de la société globale. Le sociologue de la famille examine donc existant réellement dans les groupes sociaux et dans la société, dynamiquement changeables les structures et procès de la vie de famille, ainsi que la conscience familiale, les opinions des gens sur le mariage et sur la famille, les opinions concernant les rôles sociaux exercés dans la famille ou hors de famille importants pour la famille; il l'intéresse aussi l'ensembles des aspirations et des valeurs de famille existant dans de différents milieux sociaux. Et ces deux aspects de la vie de famille (objectif et subjectif) doivent être pris dans leur liens réciproques et influences et c'est sur le fond des procès sociaux du caractère géneral. La chose essentielle est la détermination des variables fondamentales indépendant aux familles analysées. Nous acceptons que les procès de la société globale et de la macrostructure sociale déterminent dans un grand degré les procès qui ont lieu dans la microstructure sociale, quoique les procès de la microstructure aient aussi la possibilité de réagir de la manière secondaire sur les phénomènes de macrostructure et globaux. Le complexe essentiel des variables indépendant par rapport à la vie de famille sont les procès sociaux du caractère général de la société globale, les changements des formations économico-sociales et les transformations qui ont lieu dans le cadre de la formation déterminée économico-sociale. Dans ce cadre il faut aussi prendre en considération un facteur important de l'industrialisation et de l'urbanisation. Les facteurs politiques, idéologiques, les traditions de culture exercent un rôle de créateur par rapport à la vie de famille. La famille est d'une manière essentielle différenciée par la structure de classe et de couche et dans une certaine mesure aussi par la structure socio-professionnelle de la société déterminée. L'appartenance de milieu (campagne-ville) exerce aussi une influence sur elle. Le facteur influant la famille peut avoir le caractère social général, régional et local. L'influence des variables distinguées indépandantes se réflète dans les six aspects de la vie de la famille et les aspects distingués exercent aussi l'influence mutuelle. Je les cite tour à tour: 1) le lieu de la petite famille (deux générations) dans la microstructure sociale; 2) les fondements matériels de la vie de famille en prénant en considération le ménage; 3) les fondements culturels de la vie de famille — la participation à la culture; 4) la formation de la structure de la famille conçue d'une vaste manière; 5) les fonctions exercées par la famille; 6) la conscience (idéologie) des membres de la famille concernant la vie de famille.Item Geneza i rozwój socjologii rodziny(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1973) Tyszka, ZbigniewLes travaux concernant la famille peuvent être divisés en trois étapes précédées d'une période préscientifique (avant 1850). La première étape (1850 - 1900) voit apparaître I) des études etnographiques, etnologiques et sociologiques de la famille d'orientation naturaliste ainsi que 2) les analyses de Marx et d'Engels s'appuyant sur le matérialisme historique. Les sociologue français Le Play entame les études empiriques sur le terrain, des familles contemporaines en mettant l'accent sur les budgets familiaux ainsi que sur les phénomènes de la vie familiale liés aux traits caractéristiques de ces budgets. Au cours de la deuxième étape de révolution des études sociologiques sur la famille (première moitié du XXe siècle) on voit se distinguer nettement une sous- -discipline appelée sociologie de la famille, considérée comme une part très importante des connaissances sur la société. Le processus de sa formation a lieu durant les années 20 - 30 du XXe siècle. A cette même période se développent les études empiriques débutées par W. Thomas et F. Znaniecki, concernant les familles contemporaines, mais se limitant souvent à des sujets assez étroits. D'une façon générale, on peut dire que s'opère alors un changement de techniques et de matériaux. Les techniques deviennent plus exactes et s'appuient sur une analyse empirique des phénomènes de la vie familiale qui de plus en plus rejette l'analyse logique traditionelle. On assiste également à une croissance du prestige de l'analyse quantitative. Les matériaux d'étude sont obtenus selon des exigences méthodologiques très strictes. De plus en plus souvent sont employés les échantillons d'étude représentatifs, sélectionnés avec le plus grand soin. Voici les principales orientations de l'analyse de la vie familiale, surtout dans les années qui suivent: 1) les relations entre les membres de la famille en tant que personalités; 2) l'attitude réelle de la famille, c. à d. la gestion du foyer; 3) l'ordre intérieur de la famille, la distribution des rôles et les formes d'autorité; 4) la vie conjugale et les relations entre générations; 5) les problèmes des familles incomplètes et de la désorganisation des familles. Pendant la troisième étape, dans la seconde motié du XXe siècle, apparait, premièrement, la conviction du besoin de synthétiser les travaux jusqu'ici dispersés, du besoin de construire une théorie de la famille s'appuyant sur une base empirique. Deuxièmement, on porte une plus grande attention au lien entre la famille et les grandes structures sociales ainsi que la société globale. Troisièmement on assiste à un développement rapide des études comparatives. Quatrièmement on voit apparaître de plus en plus souvent des études interdisciplinaires de la vie familiale. Cinquièmement on met un accent de plus en plus grand sur une connaissance multidirectionnelle et approffondie de la vie familiale. Sixièmement, on assiste à une stimulation très visible des études sur la famille, sur le continent européen ainsi que dans certains pays du „tiers monde" mais à une échelle moindre, ce qui fait que la prédominance américaine (USA) dans cette matière décroit. L'article contient, en outre, des informations sur les études concernant la famille, effectuées dans des pays se distingant dans ce domaine.Item Historyczno-socjologiczny zarys związków rodziny z instytucjami pracy(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1971) Tyszka, ZbigniewL'article contient une description dynamique des liens existant entre la famille et le travail ainsi que les institutions de travail depuis les temps féodaux jusqu'au régime socialiste. Le lien famille-travail est très puissant. Le caractère de l'activité de production de la société et le caractère des relations de production ainsi que la façon pour les membres de la famille de participer à la production, sont les principaux facteurs déterminant les caractéristiques de la famille, la vie de famille. A ceux-ci s'ajoutent des facteurs tels que la structure de la société (déterminée du reste par les relations de production), l'appartenance professionnelle ainsi que les caractéristiques de la culture nationale, de la subculture régionale ou locale, les caractéristiques démographiques d'une société donnée, l'origine de la famille, le niveau du train de vie. On a distingué les types de familles préindustrielles monogamique de l'époque féodale: la famille féodale paysanne, la famille féodale bourgeiose (artisanale, commerçante), la famille féodale noble dont l'exemple le plus typique était la famille noble installée sur ses possessions terriennes. Indépendemment des différences existant les types de familles féodales cités ci-dessus elles posèdaient d'important traits communs. Elles se caractérisaient par un puissant partiarcalisme basé sur une grande dépendance économique pour l'épouse et les enfants du mari et du père, ainsi que sur les principes de la hiérarchie féodale. Ce partiarcalisme était entretenu par les modèles et les normes de la culture de l'époque et par l'idéologie de la religion qui régnait alors. Les membres des familles payasanne et bourgeoise assumaient la fonction „d'équipe de production" dirigée par le père. Les autres traits caractéristiques de la famille féodale sont sa grande unité, le manque de tendances individualistes de la part de ses membres, la dominance des relations matérielles sur les relations émotionelles et le maintien d'une grande famille sous sa forme pleine ou réduite. L'industrie capitaliste naissante a déffinitivement séparé les institutions de travail de la famille et emploie individuellement les membres d'une même famille (le mari, l'épouse et les enfants) en dehors de leur domicile; cependant dans la première époque de l'existence du capitalisme le travail trop pénible a un effet destructeur sur les membres de la famille ouvrière (les jeunes enfants inclus). La lutte de la classe ouvrière et le progrès de la production industrielle raccourcissent la journée de travail et offrent un travail moins pénible, les conditions de vie des familles s'améliorent et la famille travailleuse — en comparaison à la période féodale — subit des modifications progressistes. Les bases de l'émancipation des femmes grâce à leur travail qualifié, lié à la possession d'un métier, s'esquissent, ce qui ne veut pas dire qu 'un plein égalitarisme s'installe au sein de la famille. Le degré de dépendance pour les épouses et les enfants des maris et des pères diminue. Le système de rôles et de positions sociales dans la famille se modifie. On constate un démembrement de plus en plus fort de la grande famille (de trois générations). Par rapport à la période féodale on voit de plus en plus souvent le démembrement des petites familles (de deux genérations). En Pologne socialiste qui, en tant qu'état de démocratie populaire, se trouve dans une „période transitoire", on voit déjà apparaître des éléments de la famille socialiste, qui toutefois ne s'épanouiront que dans le futur. Les questions liées à la possession de biens perdent leur signification pour ce qui est de la vie de famille et du choix des époux, l'assurance de lendemains meilleurs garantis par le système des entreprises de travail socialistes, s'accroît. S'accroissent également le cadre et l'intensité de l'action et de la tutelle de l'entreprise de travail socialiste envers la famille.Item Ku społeczeństwu postindustrialnemu. Kondycja rodziny polskiej w dobie przyspieszonych przemian(Wydawnictwo Naukowe UAM, 1999) Tyszka, ZbigniewThe Polish Family of the nineties which exists in the society of connected phases of transformation is nowadays on the borders of social transformation from industrial to postindustrial family. Transformation forced the direction of changes from economies centrally steered to market economies. This creates model of state in which citizens and their families become more or less responsible for their own fate and material standard. The state helps only such families, which in spite of their own best efforts are not in a position to remedy their own, very often difficult situation. In the first period of transformation stress prevailed in most Polish families, resulting from sudden, previously not existing threats (unemployment, threat of loss of work, high inflation, high prices). In the second period, in circumstances of economic growth, a considerable number of families had already adapted themselves better to new circumstances and showed greater subjectiveness. However, passive and worst educated part o f society stays in situation o f stagnancy and in poverty.Item Metodologiczne problemy badań socjologicznych nad rodziną współczesną(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1977) Tyszka, ZbigniewA la base de chaque recherche sociologique on constate plus ou moins consciement (et dans les cas extrêmes inconsciement) acceptées les règles de la procédure de recherche à un grand degré de la généralité. En général elles démontrent des connexions avec des conceptions théorétiques déterminées mettant en ordre des faits et des phénomènes liées aux structures et procès de la vie sociale. Il faut donc tendre à une précision consciente, à systématiser et à l'application rationnelle des règles plus générales de l'analyse des familles contemporaines et de leurs aspects particuliers. La première de l'analyses de la famille que je veux proposer est enfermée dans un degré prépondérant dans la définition proposée par moi de l'objet de recherches de la sociologie de la famille. A mon avis la sociologie de la famille est une subdiscipline de la sociologie détaillée traitant sur les aspects sociaux objectifs et subjectifs de la famille comme un groupe social et l'institution sociale, s'occupant de la structure intérieure de la famille ainsi que de leurs procès intérieurs, et aussi leurs liens avec la dynamique micro et macrostructure sociale conçue dans le contexte de la société globale. Le sociologue de la famille examine donc existant réellement dans les groupes sociaux et dans la société, dynamiquement changeables les structures et procès de la vie de famille, ainsi que la conscience familiale, les opinions des gens sur le mariage et sur la famille, les opinions concernant les rôles sociaux exercés dans la famille ou hors de famille importants pour la famille; il l'intéresse aussi l'ensembles des aspirations et des valeurs de famille existant dans de différents milieux sociaux. Et ces deux aspects de la vie de famille (objectif et subjectif) doivent être pris dans leur liens réciproques et influences et c'est sur le fond des procès sociaux du caractère géneral. La chose essentielle est la détermination des variables fondamentales indépendant aux familles analysées. Nous acceptons que les procès de la société globale et de la macrostructure sociale déterminent dans un grand degré les procès qui ont lieu dans la microstructure sociale, quoique les procès de la microstructure aient aussi la possibilité de réagir de la manière secondaire sur les phénomènes de macrostructure et globaux. Le complexe essentiel des variables indépendant par rapport à la vie de famille sont les procès sociaux du caractère général de la société globale, les changements des formations économico-sociales et les transformations qui ont lieu dans le cadre de la formation déterminée économico-sociale. Dans ce cadre il faut aussi prendre en considération un facteur important de l'industrialisation et de l'urbanisation. Les facteurs politiques, idéologiques, les traditions de culture exercent un rôle de créateur par rapport à la vie de famille. La famille est d'une manière essentielle différenciée par la structure de classe et de couche et dans une certaine mesure aussi par la structure socio-professionnelle de la société déterminée. L'appartenance de milieu (campagne-ville) exerce aussi une influence sur elle. Le facteur influant la famille peut avoir le caractère social général, régional et local. L'influence des variables distinguées indépandantes se réflète dans les six aspects de la vie de la famille et les aspects distingués exercent aussi l'influence mutuelle. Je les cite tour à tour: 1) le lieu de la petite famille (deux générations) dans la microstructure sociale; 2) les fondements matériels de la vie de famille en prénant en considération le ménage; 3) les fondements culturels de la vie de famille — la participation à la culture; 4) la formation de la structure de la famille conçue d'une vaste manière; 5) les fonctions exercées par la famille; 6) la conscience (idéologie) des membres de la famille concernant la vie de famille.Item Polish Women and quality of life: a preliminary research report(Wydawnictwo Naukowe UAM, 1999) Stycos, J. Mayone; Wejnert, Barbara; Tyszka, ZbigniewItem Powojenna poznańska socjologia rodziny na tle ogólnopolskim(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1975) Tyszka, ZbigniewLa sociologie polonaise possède des traditions riches et assez anciennes dans le domaine des études sur la famille. L'analyse de la vie familiale a été entamée par de célèbres savants d'avant-guerre tels que F. Znaniecki, L. Krzywicki, B. Malinowski, T. Szczurkiewicz, J. Chałasińsiki, Z. Mysłakowski. Les études polonaise d'après-guerre sur la faimille sont réapparues après 1956. Progressivement on a vu se cristalliser trois principaux centres de ces études: les centres de Varsovie, de Cracovie — Silésie et de Poznań. Les courants d'études fondamentaux qui se sont formes sont les suivants: 1) les familles ouvrières, 2) la famille paysanne, 3) la famille et le travail, particulièrement le travail des femmes, 4) l'industrialisation, l'urbanisation et la famille, 5) la famille et l'idéologie et la culture familiale, 6) le mariage, les fiançailles et le choix -conjugal. Les investigations sociologiques d'après-guerre du centre de Poznań, se rapportant à la famille ont depuis leur début une spécifité bien précise; dans une première phase (1963 - 1970), elles se sont concentrées sur la problématique des familles ouvrières. Dans les années 1963 -1967, Z. Tyszka a mené des études à grande échelle sur la région de Konin (voïvodie de Poznań) en cours d'industrialisation, soumises au thème: „Les transformations de la famille ouvrière dans les conditions d'industrialisation et d'urbanisation". En 1970 est paru un livre du même auteur portant le même titre et constituant une conclusion aux résultats des investigations sois-citées, dont 700 familles ont fait l'objet. Dans les années 1964 -1965, un groupe constitué de trois personnes H. Przesławski, M. Roguszka, Z. Tyszka a effectué des études sur un échantillon constitué de 100 familles ouvrières de l'entreprise H. Cegielski à Poznań. Il a analysé la structure des famillesouvrières, le statut social des femmes d'ouvriers travailleuses et des non travailleuses ainsi que des modèles se rapportant au nombre d'enfants et les aspirations des parents envers leurs enfants. En 1968 - 1970, Z. Tyszka a entrepris à Konin, ville en cours d'industrialisation, des investigations complémentaires aux études précédentes. Ces investigations avaient pour sujet: „Le problème des couples hétérogènes dans une ville en cours d'industrialisation", sujet se rapportant au milieu ouvrier. A partir de 1970, c. à d. du début de la deuxième phase de l'évolution de la sociologie de la famille à Poznań, Z. Tyszka dirige à l'Univrsité de Poznań, un -séminaire de doctorat qui réunit actuellement dix personnes et qui est axé sur le problème des „conditionnements de classe, de milieu et professionnels de la structure de la famille et des processus de la vie familiale". Le courant théorique et méthodologique de la sociologie de la famille polonaise s'est enrichi d'un manuel dont l'auteur est Z. Tyszka et portant le titre: Sociologie de la famille (Varsovie 1974). En 1973 - 1974, Stanisław Kowalski, sociologue et pédagogue social de Poznań, a abordé — en marge de ses intérêts pour la sociologie de l'éducation — la problématique de l'éducation familiale; il a consacré à ce problème un article ainsi que le IIIe chapitre de son livre: Cours de sociologie de l'éducation (Varsovie 1974).Item Recenzja książki: Anna Wachowiak, Socjologia rodziny w Polsce - narodziny i rozwój. Wydawnictwo AR w Poznaniu, Poznań 1996, ss. 223(Wydawnictwo Naukowe UAM, 1998) Tyszka, ZbigniewItem Resocjalizacja młodzieży trudnej w industrializującym się Koninie(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1963) Tyszka, ZbigniewItem Rodzinne uwarunkowania przestępczości młodzieży(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1974) Tyszka, ZbigniewLes recherches ont été menées à Poznań dans les années 1972 - 1973, par les candidats à la maîtrise, inscrits chez l'auteur, étudiant à l'Institut de Sociologie de l'Université Adam Mickiewicz à Poznań et qui étaient au nombre de 12. L'objet des recherches était constitué par les familles de la jeunesse délinquante de 13 à 16 ans, divisées, en vue de comparaison, en deux groupes: les familles de récidivistes et les familles de non-récidivistes. On a étudié à part, et cela également dans un but de comparaison, les familles d'adolescents déliquants adultes, de 18 à 25 ans. Chacun des trois échantillons comptait 100 familles. De plus on a, pour les familles des jeunes délinquants (13 - 16 ans), introduit un groupe de contrôle se composant de 100 familles de jeunes non-délinquants provenant d'un centre primaire d'apprentissage et d'une école primaire. Les échantillons ont été sélectionnés. On a appliqué une méthode statistique ainsi qu'une méthode monographique. On a utilisé les techniques suivantes: enquête du milieu, entretien non directif, observation, étude de cas et analyse des dossiers. L'analyse des résultats obtenus a mené aux conclusions suivantes. 1) On a trouvé plus de phénomènes négatifs chez les familles de délinquants mineurs que chez les familles du groupe de contrôle. Le plus grand nombre de phénomènes négatifs a été constaté chez les familles des récidivistes. 2) Il n'y a pas de lien direct entre l'intensité de la délinquance juvénile et la situation matérielle de la famille, seules les conditions extrêmement mauvaises peuvent renforcer l'action d'autres facteurs. 3) Le degré de participation à la vie culturelle est inférieur à la moyenne, en particulier en ce qui concerne les familles des récidivistes mineurs. 4) Dans les familles des jeunes délinquants on rencontre une désorganisation de la famille, des relations interpersonnelles, perturbées ainsi que des manquements éducatifs, plus souvent que chez les familles moyennes. 5) Les liens extérieurs des familles des jeunes délinquants sont un peu plus restreints en comparaison avec les liens analogues des familles moyennes. Les familles des jeunes délinquants (en particulier les familles de récidivistes) entrent également plus souvent en conflit avec leur milieu extérieur.Item Rola rodziny w edukacji międzykulturowej w czasach jednoczącej się Europy.(Wydawnictwo Naukowe UAM, 1998) Tyszka, ZbigniewItem SOCJOLOGIA RODZINY A PEDAGOGIKA RODZINY. PRZEDMIOT BADAŃ - MOŻLIWOŚCI WSPÓŁDZIAŁANIA BADAWCZEGO(Wydawnictwo Naukowe UAM, 1998) Tyszka, ZbigniewItem Socjologia rodziny w Polsce(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1990) Tyszka, ZbigniewThe article contains the characterization of the development of the sociology of family in Poland, determines its basic notions and problems and presents main directions of research and its methodology. The author characterises the all-Polish programme of research on family, includes a summary of results obtained by Polish sociologists and presents main theses concerning the features of contemporary Polish families, their interactions with outside structures, the directions of their transformations and their internal processes. The dynamic development of the sociological research on family initiated in the end of the 1950s, has provided a detailed analysis of modern Polish families and offered valuable insights into the mechanisms of their evolution and the directions of changes.Item Sprawozdanie z konferencji naukowej na temat Współczesne rodziny polskie - ich stan i kierunek przemian(Wydawnictwo Naukowe UAM, 2001) Tyszka, ZbigniewItem Stan rodziny współczesnej a wewnątrzrodzinna socjalizacja dzieci(Wydawnictwo Naukowe UAM, 2000) Tyszka, ZbigniewThe processes occurring within the family are stimulated not only by interactions occurring within it, but are also influenced by the external social world outside of the family - by the microstructure, mezzostructure, macrostructure and the global society. The state of modern industrial and post-industrial societes gives a certain kind of inner family socialization of children, a disintegration of intra-family socialization occurs, which is also influence by social atomisation, the loosening of community bonds, as well as the diminishing of the authority of the parents and grandparents, an increase in the dissolution of families and in the number of pathological phenomena in the family and society, which pathologise people. The conditions of intra and outer-family socialization leave more and more to be desired. Parents do not cope in the new complicated situations.Item Więź zewnętrzna rodziny robotniczej rejonu uprzemysławianego w procesie przemian(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1985) Tyszka, ZbigniewThe author surveys the effect of accelerated industrialization and urbanization of a town and its local region on a strength and a character of bonds of families of manufacturing industry workers with the crucial elements of local and regional svstem of social microstructures on the example of changes which took place in the industrialized town of Konin in the years 1967 - 1979. The survey results are the following:1) A long standing industrialization and urbanization of the Konin region did not result in a diminishing of family bonds in working class families with their close kins. It was undoubtedly influenced by the regional deseendence of the working class of Konin, what is typical for the formerly agricultural and presently industrialized regions of Poland (substantial reserves of regional working force). 2) A decrease in a percentage of large (three generational) families wras clearly established in Konin in comparison to stabilized towns and the domestic mean values. It is a typical phenomenon for the intensively industrialized town; a high demand for labor induces bringing it from outside what results in a need of securing housing conditions and in developement of housing projects. In such conditions young married couples find more chances to become independent in the aspect of having on own apartment. 3) Some small, loose and intensively concentrated spaciously neighbourhood circles which initially had developed in the industrialized town became very loose in the examined years reaching often a stage of non-binding acquaintance. It was effected by a rapid developement of a city character of Konin in the industrial, spatial and architectural respect. 4) A conspicious urbanization of workers' families social life could be observed, manifested in becoming independent socially from family and neighbourhood bonds. 5) In the industrialized city, the formalized, external institutional "premises'' of the existence of workers' families (and all employees' families) does not follow the rapid industrial and demographic developement of the city. The obvious conclusions for the social policies can be easily inferred from that situation.Item Wpływ życia rodzinnego na funkcjonowanie zakładu pracy i jego pracowników(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1971) Tyszka, ZbigniewNon seulement l'entreprise influe sur la famille, mais également la famille peut exercer une certaine influence sur l'entreprise. 1) Le système d'habitation néolocal des petites familles contemporaines permet à celles-ci de se libérer du milieu d'habitation et facilite par là même la satisfaction des besoins des centres industriels (surtout de ceux en expansion) concernants la main d'oeuvre. 2) Un individu possédant peu de liens familiaux et n'étant pas tenu par les traditions professionelles de sa famille, peut plus facilement choisir une profession dans l'industrie adaptée à ses capacités. 3) La famille est séparée de l'atelier de travail (de l'atelier de production) de telle manière que le fonctionnement de ce dernier ainsi que les principes qui y régnent sont indépendants des principes particuliers, émotionnellement saturés de la famille. 4) La fonction émotionnelle de la famille peut tendre à rétablir l'équilibre émotionnel de ses membres travaillant, équilibre perdu à cause des exigences de la technologie moderne, et cela facilite le fonctionnement du facteur humain dans l'industrie. 5) Dans la petite famille (à deux générations) contemporaine, les aptitudes des deux sexes ont plus de possibilités de se développer et de s'adapter aux différentes exigences de la technique et créent par là même de meilleures conditions d'exploitation des possibilités humaines pour l'industrie. 6) La petitesse de la famille, sa saturation émotionnelle limitent dans une large mesure la spécifité des devoirs découlant de la position sociale occupée au sein de la famille, et cela facilite l'adaptation des individus à toutes les diverses exigences de la société industrielle et améliore indirectement le fonctionnement du système industriel. 7) Dans le cadre de la petite famille contemporaine, la jeunesse subit une longue période de dependence familiale grace à laquelle elle a la possibilité de se mieux préparer aux exigences du systéme industriel (possibilité d'acquérir un enseignement général et professionnel plus profond avant d'entreprendre une profession). L'influence de la famille sur le fonctionnement de l'employé dans l'entreprise de travail est assez importante, car les attitudes de la famille déterminent dans une large mesure la relation entre l'employé et son entreprise, son travail et sa propre spécialité professionnelle. En outre l'atmosphère générale de la famille influe sur le rendement de travail de ses membres, et dans le cas où l'un d'eux exerce un travail dangereux, l'atmosphère régnant au sein de la famille est en quelque sorte liée à la sécurité du travail.Item Współdziałanie kuratora sądowego dla nieletnich z instytucjami i organizacjami społecznymi(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1961) Tyszka, Zbigniew