Browsing by Author "Wierzbicki, Zbigniew"
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Item Agribusiness — wyłaniająca się nowa gałąź amerykańskiej socjologii wsi(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1968) Wierzbicki, ZbigniewL'auteur présente une nouvelle branche de la sociologie rurale, qui est à la limite de l'économie — „agribusiness" encore en train de se développer. Cette notion est introduite dans la littérature socio-économique par J. H. Davis en 1955 et embrasse les secteurs suivants, liés étroitement entre eux, de l'économie nationale: l'agriculture (Farming), l'approvisionnement de l'agriculture (Farm-Supplies) et la transformation des produits agricoles et leur distribution (Processing—Distribution). La révolution technique dans l'agriculture américaine vers l'année 1950 a causé une spécialisation très poussée des fermes. Beaucoup de choses que le fermier, il y a 50 ans, faisait lui-même dans sa ferme, est fait à présent par les entreprises spécialisées non agricoles. Quant à la production agricole, lui-même est devenu le producteur tout à fait spécialisé qui ne pourrait exister même une semaine sans aide de nombreux établissements industriels, commerciaux et de service. Avec ce processus de la spécialisation est lié étroitement le processus de l'intégration verticale, ayant lieu surtout dans les secteurs non agricoles, mais exerçant une influence stricte sur l'agriculture. Quelques secteurs de la production (p.ex. fermes d'élevages de poulets) sont déjà entièrement soumis à un seul centre de disposition. Ce processus s'accomplit soit directement par l'achat des fermes, soit le plus souvent au moyen des contractations. L'intégration verticale contribue sans doute au développement rapide de l'agriculture (l'intégrateur fournit le crédit des semences, le fourrage, l'engrais etc.) mais il restreint évidement la liberté de la décision du fermier. Donc, pour comprendre de nombreux problèmes de la campagne américaine contemporaine il est nécessaire de connaître „agribusiness" et d'analiser certaines phénomènes dans ces cadres. „Agribusiness" n'est pas encore une forme pleinement façonnée. Diverses processus y ont lieu. En général le secteur fondamentale, agricole, se développe le plus lentement de trois et la disproportion entre celui-ci et les autres secteurs augmente. On peut expliquer cela, partiellement, par la faible intégration du secteur agricole. Les problèmes typiques, sociologiques dans „agribusiness" sont: les processus et les mécanismes sociaux, maintenant ou causant les transformations dans les structures des secteurs particuliers; les modèles des comportements (patterns) et des activités dans les trois secteurs; des institutions et l'institutionalisation de la gestion et des activités dans les cadres de „l'agribusiness"; les processus de l'aculturation et de l'adaptation des individus qui passent du secteur agricole à d'autres ce qui signifie souvent une émigration de la campagne à la ville, mais pour la plupart pour y travailler dans le professions liées avec l'agriculture; enfin l'analyse des termes employés dans „agribusiness" du point de vue sociologique.Item Aktywizacja i rozwój społeczności lokalnych i środowiskowych(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1987) Wierzbicki, ZbigniewThe author mentions and analyses three main elements of the process defined as the activation and development of local communities: 1. participation in common cause for the benefit of one's own community, 2. voluntary and mutual help rendered to promote higher efficiency of activity, 3. a plan of activity aimed at improving the living conditions of the community. Next, the article defines the circumstances under which a social movement for activation is to exist and function. The activation programme should take those circumstances into account. Among them the following should be mentioned in the first place: a character of macrosystem (centralized to a lesser or greater degree or decentralized), the degree of industralization and the needs of the community over a given period. An important problem is the right selection of leaders of the movement for activation. Every leader performs three roles: he is an animator, organizer and educator. An animator stimulates aspirations and needs; he stimulates the community to action. The role of an organizer consists in providing the local community with information, getting necessary means and gaining support of authorities and institutions. The educator's role does not only result from the proper fulfilment of the other two but also from the necessity of acting in the fields such as fighting social pathology, carring out education, providing care for orphans or old people, organizing sport activities, etc. According to the author, the movement for activation of local communities may be best developed in moderate macrosystems, i.e. relatively centralized or relatively decentralized, whereas the chances for its successful development decrease with growing urbanization of a local community. In big cities the said movement is unlikely to appear or in any case difficult to be realized.Item Od ekologii i neo-ekologii człowieka do sozoekologii społecznej(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1986) Wierzbicki, ZbigniewThe author departs from the assumption that there is no clear cut borderline between a human constitution and a natural environment, as these two consist the interrelated system, interacting in the respect of conditioning. Analysing the state of natural environment in Poland, the author is searching for the explication of the ecological crisis not only in the sphere of industrialization and urbanization processes in the country and applying no protective installations, but he is also offering reasons for it, of a social nature: the lack of tripartite division of powers (according to the Montesqueiean theory), and the lack of equilibrium of social powers which is practically manifested by the domination of a techno-bureaucratic lobby over other socio-professional structures as well the supremacy of the planning and executive power over the other ones. The traditional ecology and neo-ecology of a man are not relevant to the existing situation. New ideas and concepts have appeared (ecoarchitecture, eco- -pedagogics, eco-economics), as well as the desire, and sometimes the necessity to shape the environment directly (sociospatial planning) with the respect to problems of natural environment protection (sozo-ecology, or sozo-physiotactics; a Gr. word „sozo-" protect, keep alive) to save a man and his civilization. It is the author's suggestion to supplement the ecology of man by introducing a planning to the cultural order, to prevent degrading of nature by means of regulating economic competition in the biotic order (on a local level). Activity of man aiding the nature would be an ideal solution, or at least the activity not destructing it. The author precises the differences between the old ecology and new-ecology of man and social sozo-ecology, mentioning the following in the new concept: a wider understanding of the natural environment (also woods, waters wasteland, and monuments of the material culture independently of their economic use); space has a „continous" value irrespective of its economic use, evaluating it according to sozo-ecological or (sociological criteria (as an element of the non-spatial system of values- F. Znaniecki); particular importance is attributed here to rural and protected areas (e.g. national parks, wasteland) as to the „supplier" of ecological resources to the areas exhibiting their deficit, and as a condition of the ecological balance of a region or country. A notion of „subsocial relations" is reintroduced in sozo-ecology, to define solely interactions between men and nature.Item Pół wieku socjologii wsi w Polsce(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1967) Wierzbicki, ZbigniewBien que déjà au XIX siècle fussent parues des études ethnographiques et historiques à caractère partiellement sociologique, les vrais débuts de la sociologie rurale datent des premières années du XX siècle, avant la parution de „The Polish Peasant in Europe and America (1918) de Thomas et Znaniecki. Cette publication n'a pas eu d'influence sur la première période du développement de la socîqlbgie* en Pologne, le rôle décisif a été joué en ce temps-là par les études de L. Krzywicki (entre autres a Question agraire" 1903), F. Bujak (les monographies rurales, 1902 et 1903), W. Grabski (depuis 1910). Ce dernier peut être considéré comme le vrai créateur de la sociologie rurale: en 1936 il fonda l'Institut de Sociologie Rurale a Varsovie et se mit à publier le premier périodique consacré à la sociologie rurale „Les Annales de la sociologie rurale". Cette date marque le commencement de l'âge d'or dans le développement de cette discipline scientifique; c'est alors qu'apparaissent les célèbres travaux de J. Chałasiński (La Jeune génération paysanne), S. Czarnowski (Les Fondements du mouvement paysan), J. Bystroń (La Culture populaire), K. Krzywicki (une série de mémoires et d'études statistico-économiques qui les complètent) et d'autres. Après la seconde guerre mondiale, à l'exception de la période stalinienne la sociologie rurale s'est développée d'une manière favorable en élargissant grandement ses thèmes et en enrichissant sous l'influence de la sociologie américaine, ses méthodes et le côté technique de ses recherches, surtout des plus importantes enquêtes-panel en Europe: répétée tous les cinq ans dans les mêmes 120 villages. Par comparaison avec la période d'avant guerre on observe une évolution marquée des recherches théoriques à orientation et économiques vers de recherches purement empiriques, visant principalement à l'étude des conséquences sociales de l'industrialisation et urbanisation du pays. Ce sont surtout les problèmes de la migration de la campagne vers la ville qui sont bien analysés (M. Pohoski, M. Dziewicka, W. Makarczyk, R. Turski et d'autres), les problèmes de modifications des classes sociales et professions dans la structure de la population rurale (B. Gałęski), les transformations des communautés locales au cours d'une longue période (Z. T. Wierzbicki) et sous l'influence de l'industrie contemporaine (J. Turowski, D. Gałaj, et d'autres), les modifications des conditions matérielles de la vie, de la culture et des coutumes. Ce tableau ne manque néanmoins pas d'ombres: ainsi 1) une grande supériorité quantitative d'études empiriques s'exprime aux générales et théoriques; 2) une certaine partialité de ses études, qui la rejection de la direction d'un courant de recherches entamées d'une manière si interessante par Znaniecki, que par l'omission de nombreux problèmes importants qui ne sont pas directement liés à l'industrialisation du pays.Item Rolnictwo zespołowe we Francji(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1972) Wierzbicki, ZbigniewAgricultural Groups of Common Exploitation (Groupements Agricoles d'Exploitation en Commun) are voluntary associations of persons who unite their own productive means and work together in a manner which is on one side close to the family farm and on the other side meets the requirements of modern agriculture. In 1965 there were only a few "group farms", so called "gaecs", while at the end of 1969 — 1,734, and in 1970 there were 2,190 such group farms embracing 4,900 farmers and 220,000 hectares. There are about 137 hectares for one gaec, that is 40 for one member of a gaec. The main concentrations of gaecs are in eastern, southeastern and western France. There is a shortage of gaeces in middle and southern France. One gaec engage no more than 10 persons, all agriculturists, who are obliged to work in common on the group farm. Every gaec has a constitution and regulations of work. All gaecs are members of the union of group farms (UGEA) with its headquarters in Paris. The principles of remuneration should include the following elements: the contribution of work, the interest of invested capital, profits from tenancy, and education and professional specialization being of value to the farm. The salary shouldn't be lower than the minimal wage (so called SMIG) and higher than six times this rate. The most important three problems for the further development of group agriculture are: 1) the two-persons gaecs (mostly father and son), 2) the professional work and the scope of responsibility of women, that means their social status, 3) employment of hired labor in gaecs. Concerning the last problem, one can distinguish three kinds of attitudes: first, the opinion that the hired laborer is necessary and justified in gaecs; second, hired labor is contrary to the ideal and principles of a gaec; third, the attitudes of rural laborers about their role in gaecs, based rather on psychological criteria. The attitude of trade unions is particular because they are very often against the membership of rural workers in gaecs. The gaecs are criticized by different social milieus, even by progressive ones, although this form of farming is not denied to have some definite advantages and te be successful within certain limits.Item Spółdzielczość spożywców w ustroju gospodarczym Polski Ludowej(Wydział Prawa i Administracji UAM) Wierzbicki, Zbigniew