Nowak, Leszek2017-10-012017-10-011970Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 32, 1970, z. 2, s. 163-1730035-9629http://hdl.handle.net/10593/19404Le but de l'article est de résoudre la question de l'effectivité des raisonnements subsumptifs juridiques, c'est à dire de savoir si ces aisonnements suivent un théorème logique, s'ils sont donc des raisonnements déductifs. Il apparait que si l'on présente les raisonnements subsumptifs types, coincidant avec le syllogisme juridique, dans leur forme pleine, c'est à dire dans une forme contenant toutes les prémisses enthymatiques, alors la raisonnement évolue de la façon suivante: 1) Si la norme N1 a une valeur obligatoire dans un système juridique, et la norme N2 est la conséquence logique de la norme N1, alors la norme N2 a elle aussi une valeur obligatoire. 2) La norme suivante a une valeur obligatoire: „Chaque personne possédant les propriétés W devrait faire C" 3) La personne N.N. possède les propriétés W 4) La norme „N.N. devrait faire C" a une valeur obligatoire. En outre la schéma ci-dessus est un cas particulier du théorème logique suivant: (x)(y) {[f(x)• g(xy) -->f(y)]•f(a)•g(ab)} -->f(b) En conséquence les raisonnements subsumptifs juridiques sont des raisonnements déductifs d'un genre particulier. L'illusion qu'il en soit autrement provient du fait que les théoriciens analysent les raisonnements les raisonnements subsumptifs dans leur forme contractée, en ne tenant pas compte des prémisses sous-entendues par les juristes.polinfo:eu-repo/semantics/openAccessO prawomocności prawniczych rozumowań subsumpcyjnychSome Comments on the Validity of Subsumption as Legal ReasoningArtykuł