Bogdanowicz, Mateusz2014-09-052014-09-052013TransCanadiana, 6.2013, pp. 317-3261899-0355http://hdl.handle.net/10593/11421Depuis des siècles les livres ont été les porteurs d’idées les plus efficaces et communs. Dans les années 1990, le livre Who Killed Canadian History ? de Jack L. Granatstein a soulevé une vive controverse au Canada et à l’étranger. En fonction d’un bref examen du phénomène du livre, l’auteur de l’article aborde un certain nombre de questions essentielles pour quiconque préoccupé par les devoirs civiques, par le patriotisme à petite et à grande échelle ainsi que par la liberté d’expression. La première série de questions est à caractère plus universel : Pourquoi les livres sont-ils contestés ? Dans quelle mesure les auteurs sont-ils conscients du fait que leur livre deviendra controversé ? Pourquoi relever un défi d’écrire un livre controversé ? Who Killed Canadian History ? de J.L. Granatstein soulève aussi des questions plus concrètes comme : Quels sont les objectifs principaux qu’ont les auteurs pour rendre le livre discutable ? A quoi aspire l’auteur ? Et si le livre est-il bon de nos jours, comment le mettre en lien avec les préoccupations actuelles ou l’universalité est-elle un aspect essentiel ? Pourquoi un livre est-il considéré comme provocateur ? Par qui ? Quel sera l’impact du livre au Canada, si c’est le cas ? Quelles seront ses conséquences sur d’autres pays, par exemple sur la Pologne ou sur l’Europe « unie » ?enIn Defence of History or in Hysteria of Defence: Reflections on J. L. Granatstein’s Who Killed Canadian History?Artykuł