Dyoniziak, Ryszard2017-07-112017-07-111968Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 30, 1968, z. 1, s. 253-2700035-9629http://hdl.handle.net/10593/18402L'auteur pose deux quesions à résoudre: 1) il cite les évaluations de leurs destinés (succès ou échec) de deux groupes et les traite comme matériel de base servant à en extraire les valeurs de certains besoins sociaux; 2) il tâche de saisir certaines dépendances du style de la consommation et de ces besoins. Les deux groupes professionnels qui ont été sujets de l'examen c'étaient des ouvriers et des employés des bureaux de l'administration. Seulement 35,3% des ouvriers provenaient d'un milieu ouvrier et seulement 24,9% des employés d'un milieu d'employés. La conviction d'avoir atteint le „succès" ou subi „un échec" a été mesurée sur la base de réponses aux questions suivantes: 1) comment jugez-vous votre vie: avez-vous conquis ce à quoi vous teniez le plus? 2) avez-vous le sentiment d'avoir remporté un succès ou subi un échec? 3) comment jugez-vous votre travail professionnel? 4) est-ce que, si vous pouviez choisir à nouveau une profession vous choisiriez à nouveau la vôtre? 5) comment jugez-vous votre situation professionnelle, vous donne-t-elle de la satisfaction? En comparant les réponses on arrive à la conclusion que les ouvriers ont réalisé à un degré décidément plus important leur plan vital que les personnes qui sont actuellement engagées comme employés. Cette conclusion vaut autant pour les femmes que pour les hommes. Relativement un plus grand nombre de sujets, autant parmi les ouvriers que les employés, ont le sentiment d'avoir réussi que la conviction d'avoir atteint dans la vie ce à quoi il tenaient le plus. L'examen a démontré que les jugements subjectifs concernant le „succès" ou „l'échec" dans la vie sont conformes au règles objectives de la dynamique des revenus de la population. Autant parmi les ouvriers que les employés de bureaux (sans différence de sexe) plus de personnes sont satisfaites du travail qu'elles exécutent — mais une grande majorité de femmes et d'hommes du groupe ouvrier désireraient acquérir une autre profession que celle dans laquelle ils travaillent actuellement. Les hommes du groupe d'employés désireraient également une autre profession, si cela était possible. U s'en suit donc, que la satisfaction puisée du travail n'est pas toujours la preuve qu'on soit satisfait de sa .profession. Beaucoup de sujets considèrent l'appartenance au groupe ouvrier comme une nécessité, un hasard, et non comme un avancement social. Le sentiment d'échec prédomine parmi les hommes et les femmes entre 35—50 ans. Le problème principal pour les hommes et les femmes c'est le problème du choix professionnel, et racquisition d'une instruction — le plus souvent secondaire, plus rarement supérieure. Ils jugent leur vie non pas tant du point de vue du chemin qu'ils ont traversé eux-mêmes pour atteindre leur profession actuelle, mais du point de vue de ce qu'ont atteint leurs pairs et contemporains ainsi que des possibilités non réalisées. La hiérarchisation technologique est approuvée, c'est elle qui détermine la position de l'individu dans le procès technologique dans un large sens de ce terme. Cette hiérarchisation tend à juger le rang d'une profession donnée en dépendance de la garantie d'avoir la possibilité de prendre des décisions librement, d'avoir de rinfluence sur son entourage, de gagner une meilleure renumeration, de déployer ces propres concepts et initiatives, en dépendance également des perspectives que ce rang crée, ainsi que des qualifications supérieures qu'il exige et de l'importance sociale qu'il garantit.polinfo:eu-repo/semantics/openAccessAwans społeczny a poczucie sukcesu lub zawodu życiowegoSocial Advancement Seen as Personal Success or DisappointmentArtykuł