Kunicki, Aleksander2017-07-122017-07-121968Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 30, 1968, z. 3, s. 111-1240035-9629http://hdl.handle.net/10593/18476L'article touche le problème des actions de radministration des biens de l'enfant où d'une personne restant sous la tutelle et curatelle ainsi que le problème de radministration des biens communs des époux. L'auteur indique le contenu des dispositions particulières concernant l'administration. Ensuite il dessine une exquisse concise des opinions de la doctrine polonaise et fait la conclusion que c'est bien difficile et superflu de tracer une frontière exacte entre la notion de radministration ordinaire1 et la notion des actions qui enfreignent radministration ordinaire. Cependant pour les buts pratiques il est nécessaire au moins de nommer exemplairement des actions qu'il convient de compter aux actions enfreignant rétendue de l'administration ordinaire. Le Code de famille et de tutelle se setrt de tels termes comme „les affaires essentielles" et „les affaires plus importantes", cependant cela ne donne pas de l'indication décisive pour l'interprétation de la notion des actions de radministration ordinaire. En conclusion Fauteur énumère exemplairement de certaines actions, qu'il faut compter soit aux actions de l'administration ordinaire soit aux actions enfreignant l'étendue de radministration ordinaire. Par rapport à radministration des biens communs des époux il faut appliquer des critères qui donnent plus de liberté à l'administrateur en comparaison aux actions des représentants. L'auteur motive ce postulat par le fait que le conjoint a le discernement de plus haut degré dans les affaires de biens que les personnes, au nom desquelles agit le représentant statuaire.polinfo:eu-repo/semantics/openAccessPojęcie zwykłego zarządu w prawie rodzinnym i opiekuńczymThe Concept of Administration in Family and Guardian LawArtykuł