Raczyńska, Katarzyna2014-09-052014-09-052013TransCanadiana, 6.2013, pp. 289-2991899-0355http://hdl.handle.net/10593/11419L’objectif de cet article est d’examiner les tensions dans la représentation du caractère individuel, souvent périphérique, de la communauté des Prairies, supposée être cohérente et centralisée. Les oeuvres littéraires sont étudiées afin de mettre en évidence le changement de l’idéal pastoral dans un cadre moderniste, pourtant par rapport à des influences postmodernes dans des textes canadiens postérieurs en prose. Ainsi l’auteur examine le degré d’implication des romans en question : une performativité sociale en tant que source de trouble intérieur, une sexualité genrée en tant que résultat direct de la force sociale, et enfin des connotations homoérotiques ajoutant encore un autre aspect à la reception des personnages étudiés. L’article se veut une tentative de démontrer certaines erreurs dans la vision illusoire des prairies considérées comme un espace paisible, presque arcadien, mais en réalité profondément déchiré par des émotions ambivalentes, par une sexualité ambiguë et transgressive ainsi que par les conflits personnels nourris d’apparences et des limites physiques dans leur acception la plus singulière qui soit.enExploring Different Dimensions of the Canadian Prairie: Community And the Individual in Sheila Watson’s The Double Hook And Robert Kroetsch’s What the Crow SaidArtykuł