Browsing by Author "Piekara, Andrzej"
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Item Kooperacja w kółkach rolniczych a elementy kolektywistyczne w produkcji rolnej(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1965) Piekara, AndrzejItem O zagadnieniach prawno-ekonomicznych kółek rolniczych (Z powodu książki M. Błażejczyka)(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1967) Piekara, AndrzejL'article contient des remarques se prêtant à discussion à propos des conceptions de Marian Błażejczyk, auteur du livre „Les associations agricoles dans le procès d'une réconstruction socialistique de l'agriculture" (Varsovie, PWN, 1965). Le sujet de l'article est centré autour du problème des associations agricoles comme institution ayant pour devoir l'organisation et la création du type moderne de production dans l'agriculture individuelle ainsi que les formes de l'organisation de cette production. Les considérations de l'auteur de 1 article sont basées sur une méthodologie sociotechnique. Il met en avant les thèmes essentiels et les problèmes suivants concernant le sujet en discussion: 1. Les associations agricoles comme instrument d'action, la structure de leur organisation et leur base sociale, 2. l'objet vers lequel se dirige l'action de l'instrument. 3. les principes et méthodes de cette action, 4. le but essentiel et les buts intermédiaires de l'action, 5. les conditions de cette action, 6. les résultats de l'action des moyens et méthodes destinés à réaliser le but face au but principal et à ceux qui lui sont subordonnés, 7. comme résultat de cette confrontation — l'évaluation du degré de réalisation du but principal, 8. l'établissement de la valeur raisonnable et réelle ainsi que de l'efficacité de rinstrument examiné et l'établissement des possibles manques d'efficacité de cet instrument, ou bien encore la détermination quels sont et pourquoi se produisent des résultats non intentionnés. L'une des thèses de Fauteur c'est la conception — polémique par rapport à Marian Błażejczyk — que constituent les éléments suivants: les associations agricoles devraient garder leur caractère juridique possédé jusqu'ici, le caractère d'une association enregistrée, car l'intérêt social et professionnel des fermiers, comme membres d'une classe sociale et professionnelle définie, l'exige. En même temps le caractère spécifique de la production agricole moderne et de l'organisation de cette production exige qu'au s-ein des associations agricoles, ou bien en union à leur organisation fussent crées des unités spéciales de production et de services (sur un statut d'entreprise) qui se chargeraient des tâches strictement économiques propres à l'entreprise, exercées jusqu'ici par les associations agricoles dans le cadre de leur activité comme association. Les associations agricoles devraient stimuler et organiser parmi les fermes agricoles individuelles le procès de concentration des moyens de production, surtout par voie de coopération productrice, basée sur des relations d'obligation législative, au lieu de le faire, comme dans le système de kolkhoze sur la base du droit positif. Il ne faut pas déterminer d'avance que la perspective du progrès des associations agricoles devrait uniquement être basée sur le principe de réorganisation en coopérative collective, malgré que cette possibilité éventuelle ne puisse être exclue dans certaines conditions. Mais il n'est pas juste d'en faire un principe fondamental et Tunique possibilité. Car la concentration et l'intégration socialistique dans la sphère des moyens de production agricole se développera sous des formes diverses en dépendance des conditions subjectives et objectives des campagnes et de l'agriculture. En plus la civilisation moderne industrielle et urbaine, qui exerce déjà son influence sur la civilisation rurale et empiète son terrain, va définir de plus en plus d'une manière spécifique, la situation démographique, matérielle, les attitudes sociales, professionnelles etc. Cette situation va dicter également de nouvelles formes d'administration socialiste, inconnues jusqu'ici. Il peut donc se montrer, que l'administration de type kolkhozien, c'est à dire un certain nombre de fermes familliales, des décisions prises en commun, un travail en groupe, le partage du revenu — traits des conditions de coopérative de production — formeront, face aux exigences de la modernisation et rationalisation des fermes agricoles (dans des conditions données une étendue raisonnable, maximum de mécanisation, minimum d'équipage de travailleurs) un anachronisme surtout au point de vue de l'organisation et de l'économie de l'entreprise.Item Społeczna rola i uwarunkowania samorządu spółdzielczego. (O potrzebie samorządu spółdzielczego)(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1977) Kowalak, Tadeusz; Piekara, AndrzejLe coopérativisme répond au besoin social des communautés locales ou des groupes professionnels sur les institutions socio-économiques, d'autogestion, locales et démocratiques. La coopérative est une institution adéquate surtout là, où il s'agit des affaires et des besoins de «la nature et du fond des choses locales et exigeant d'une gestion décentralisée. De plus la coopérative est une forme de l'administration de l'entreprise, remarquablement favorisant l'émancipation et la mise à profit des valeurs locales matérieles ainsi qu'intellectuelles, est donc un bon instrument pour organiser (activiser) le progrès social et économique, surtout dans les milieux désirant sortir de l'obscurantisme et des contraints à s'appuyer surtout sur les propres forces et moyens et sur la propre prévoyance collective. Il existe cependant des conditions, dont l'accomplissement dépend l'activité de la coopérative effective et désirable. C'est à ces conditions et les conséquences de leur non observation qu'est consacré cet article. Les auteurs ont montré les conditions suivantes les plus importantes: — le degré convenable de l'autonomie et de l'indépendance de la coopérative par rapport aux organes et institutions répresentant le système global dominant, — la démocratie coopérative consistant en influence décisive des membres sur le choix de l'appareil du pouvoir de la coopérative, sur la participation aux décisions, l'inspiration, le contrôle et l'application de la responsabilité sociale, — le caractère de groupe — il s'agit des groupes intégrés, homogènes, sociaux, constituant la société et non la masse anonyme, — le caractère local, consistant et liaison essentielle avec le milieu déterminé social local, — la représentation et la protection des intérêts sociaux, matériels, professionnels etc. des membres de la coopérative. A la lumière des conditions susmentionnées les auteurs ont soumis à l'analyse quelques coopératives existant en Pologne (d'agriculture, des consommateurs etc.) constatant, que la tendance à un vite progrès technique et au dévéloppement économique dans le coopérativisme la conduit parfois sur la voie de la concentration exagérée de la technocratisation et beaurocratisme dans la gestion en liaison de cela les fonctions sociales et éducatives de la coopérative diminuent, leur caractère d'autogestion et la participation des membres aux affaires et décisions de la coopérative se bornent. Ce sont les tendances et les phénomènes, dont se sont occupés les centres politiques ainsi que scientifiques en Pologne dans l'intention de leur s'opposer et d'assurer le fonctionnement régulier de l'autogestion coopérative, qui est l'un des éléments de la démocratie socialiste — convenablement conçue.