Z badań nad przestępczością nieletnich w województwie koszalińskim
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Date
1969
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Publisher
Wydział Prawa i Administracji UAM
Title alternative
Juvenile Delinquency in Koszalin Voivodeship
Abstract
A la base des données concernant la criminalité de mineurs dans les années
1960 et 1964 on a constaté qu'en voïvodie de Koszalin le nombre des adolescents
qui s'engagent sur la voie de la criminalité accroît.
En cours de 855 instructions faites en 1960 et concernant 1273 de mineurs on
a constaté que dans 588 cas les criminels agissaient séparément, dans 254 cas en
groupe et dans 12 cas de concert avec des adultes ou sur leur inspiration. Dans
1404 instructions terminées en 1964 on comptait 1735 de mineurs. Dans 745 cas
ils agissaient séparément, dans 630 associés en gang et dans 29 cas ils commettaient
des délits de concert avec des adultes. Les nombres susmentionnés démontrent
l'accroissement des groupes criminels de jeunesse qui agissent plus habilement que
les criminels individuels et qui commettent des infractions aux lois plus souvent.
Il vaut souligner que le processus de la démoralisation de la jeunesse agissant
en groupes est beaucoup plus vite.
Le plus souvent on commettait des vols. Par rapport à l'ensemble des infractions
aux lois commis par des adolescents en 1960 les vols constituaient 74,3%
et en 1964 — 84,9%. C'était l'argent qui était le plus souvent l'objet des vols.
Pendant les cambriolages aux magasins ou aux kiosques les enfants emportaient
une petite quantité de marchandises, cependant toujours ils volaient toute la
monnaie qui se trouvait dans la caisse.
On a soumis à l'analyse particulière les conditions de famille des inculpés
mineurs. On a constaté que 85,8% des criminels possédaient des parents, la mère
ainsi que le père. On comptait parmi eux 7,5% des démi-orphelins et 0,46% des
orphelins. Les enfants des parents divorcés statuaient 6,2%.
Il faut prendre spécialement en considération le problème du commencement
très précoce de l'activité délictueuse. Dans deux les plus grandes villes de la
voïvodie de Koszalin, à sovoir à Koszalin et à Słupsk le nombre des infractions
aux lois a accru évidemment — surtout des vols — commis par des enfants qui
n'ont pas encore atteint l'âge de 7 ans. Si en 1960 à Koszalin on a révélé 2 et
à Słupsk 5 enfants d'âge à 7 ans, en 1964, à Koszalin 29, à Słupsk 16.
Les auteurs mineurs des infractions aux lois ce sont en plus que 80% des
élèves des écoles primaires et secondaires. Le groupe des inculpés mineurs qui ne
fréquentent pas l'école et qui ne travaillent pas comptait en 1960 — 13,2% et en
1964 — 17,1%. C'est le groupe de la jeunesse qui ne fréquente pas l'école et qui ne
travaille pas, qui est spécialement exposé à la démoralisation. A ce groupe appartient
surtout la jeunesse qui n'a pas commencé à diverses causes l'apprentissage
à l'école secondaire et qui en raison de l'âge adolescent ne peut pas trouver de
travail. Comme il s'en suit de recherches, ce n'est pas le manque de la surveillance
paternelle, qui est la cause principale de l'engagement sur la voie délictueuse de
la jeunesse, mais une éducation impropre et l'engagement insuffisant des pédagogues
et des organisations de jeunesse dans les affaires de jeunesse démoralisée.
Description
Sponsor
Digitalizacja i deponowanie archiwalnych zeszytów RPEiS sfinansowane przez MNiSW w ramach realizacji umowy nr 541/P-DUN/2016
Keywords
Citation
Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 31, 1969, z. 1, s. 311-323
Seria
ISBN
ISSN
0035-9629