Zmiana i rozwiązanie umowy gospodarczej w drodze swobodnego porozumienia się stron

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1970

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Wydział Prawa i Administracji UAM

Title alternative

Modification and Dissolution of the Economic Contract throguh Free Agreement of Parties

Abstract

Le sujet de cet article est la problématique économique et juridique de la modification et de la rupture de contrat signé entre des unités de l'économie nationalisée. L'auteur s'intéresse plutôt aux contrats dont la modification ou la rupture n'est pas la conséquence d'une décision d'unités supérieures (art. 404 du code civil), mais est établie par un arrangement direct entre les parties, ou par la décision d'une commission d'arbitrage remplaçant la partie qui, sans motifs valables, refuse la rupture (la modification) du contrat. Le précédent système de planification mettait trop l'accent sur l'obligation de réaliser le plan sans tenir compte des circonstances qui l'accompagnent, dans le nouveau système au contraire, la question de rupture (modification) de contrat prend plus d'importance; ce nouveau système est pour une plus grande plesticité dans la planification et l'administration de l'économie nationale. La modification d'un plan entraine la possibilité, et souvent même l'obligation de rupture (modification) de contrats dont le but socio-économique a perdu son sens. S'appuyant sur la législation économique et sur les tendances dans les décisions de l'arbitrage économique d'état, l'auteur montre qu'à l'aide d'un certain genre de clause générale rebus sic stantibus on peut dans des cas économiquent motivés, violer le principe pacta sunt servanda (principe de réalisation effective des contrats) qui règne avec une sévérité particulière dans les relations entre les entreprises nationalisées. Après avoir commenté la forme et le mode de rupture (modification) des contrats, l'auteur propose que ce genne d'actes juridiques interviennent sans conflit, dans une atmosphère de compréhension réciproque et dans le respect des principes la liquidation des liaisons économiques. Dans le cas où l'offre de rupture (modification) de contrat est refusée par la deuxième partie, l'unité intéressée à la rupture (modification) du contrat peut — s'appuyant sur la clause générale de l'article 386 du code civil (statuant l'obligation à la coopération et à l'aide réciproque des entreprises nationalisées lors de la signature et de la réalisation de contrats) — faire appel à une commission d'arbitrage en demandant la rupture (la modifications) du contrat. En fonction du fait que dans les relations intervenant entre les entreprises nationalisées, les relations de contrat ont le plus souvent un charactère successif, la rupture de contrat devrait en principe intervenir avec un effet ex nunc. L'article se termine par des remarques concernant la responsabilité liée aux dommages causés par la rupture (la modification) de contrat. Selon l'auteur on ne peut pas l'identifier à la responsabilité liée aux fait de ne pas (remplir ou de mal remplir le contrat, car si le contrat est rompu, l'obligation qui en découle expire. La rupture (la modification) d'un contrat n'exclue cependant pas la responsabilité liée au non respect des obligations dans la période précédent la rupture (la modification). La partie qui a pris l'initiative de la rupture (la modification) du contrat devrait rembourser au partenaire les frais causés par l'organisation des travaux de préparation, par la realisation en partie du contrat {damnum emergens) et par la perte du gain attendu (lucrum cessans). L'auteur propose d'appliquer dans ce cas le principe de responsabilité limitée.

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Keywords

Citation

Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 32, 1970, z. 2, s. 105-118

Seria

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ISSN

0035-9629

DOI

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