Awans społeczny a poczucie sukcesu lub zawodu życiowego
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Date
1968
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Volume Title
Publisher
Wydział Prawa i Administracji UAM
Title alternative
Social Advancement Seen as Personal Success or Disappointment
Abstract
L'auteur pose deux quesions à résoudre: 1) il cite les évaluations de leurs destinés
(succès ou échec) de deux groupes et les traite comme matériel de base servant
à en extraire les valeurs de certains besoins sociaux; 2) il tâche de saisir certaines
dépendances du style de la consommation et de ces besoins. Les deux groupes professionnels
qui ont été sujets de l'examen c'étaient des ouvriers et des employés
des bureaux de l'administration. Seulement 35,3% des ouvriers provenaient d'un
milieu ouvrier et seulement 24,9% des employés d'un milieu d'employés.
La conviction d'avoir atteint le „succès" ou subi „un échec" a été mesurée sur
la base de réponses aux questions suivantes: 1) comment jugez-vous votre vie:
avez-vous conquis ce à quoi vous teniez le plus? 2) avez-vous le sentiment d'avoir
remporté un succès ou subi un échec? 3) comment jugez-vous votre travail professionnel?
4) est-ce que, si vous pouviez choisir à nouveau une profession vous choisiriez
à nouveau la vôtre? 5) comment jugez-vous votre situation professionnelle,
vous donne-t-elle de la satisfaction?
En comparant les réponses on arrive à la conclusion que les ouvriers ont réalisé
à un degré décidément plus important leur plan vital que les personnes qui sont
actuellement engagées comme employés. Cette conclusion vaut autant pour les femmes
que pour les hommes. Relativement un plus grand nombre de sujets, autant
parmi les ouvriers que les employés, ont le sentiment d'avoir réussi que la conviction
d'avoir atteint dans la vie ce à quoi il tenaient le plus. L'examen a démontré que les jugements subjectifs concernant le „succès" ou
„l'échec" dans la vie sont conformes au règles objectives de la dynamique des revenus
de la population.
Autant parmi les ouvriers que les employés de bureaux (sans différence de
sexe) plus de personnes sont satisfaites du travail qu'elles exécutent — mais une
grande majorité de femmes et d'hommes du groupe ouvrier désireraient acquérir
une autre profession que celle dans laquelle ils travaillent actuellement. Les hommes
du groupe d'employés désireraient également une autre profession, si cela était
possible. U s'en suit donc, que la satisfaction puisée du travail n'est pas toujours
la preuve qu'on soit satisfait de sa .profession. Beaucoup de sujets considèrent l'appartenance
au groupe ouvrier comme une nécessité, un hasard, et non comme un
avancement social. Le sentiment d'échec prédomine parmi les hommes et les femmes entre 35—50
ans. Le problème principal pour les hommes et les femmes c'est le problème du
choix professionnel, et racquisition d'une instruction — le plus souvent secondaire,
plus rarement supérieure. Ils jugent leur vie non pas tant du point de vue du chemin
qu'ils ont traversé eux-mêmes pour atteindre leur profession actuelle, mais du
point de vue de ce qu'ont atteint leurs pairs et contemporains ainsi que des possibilités
non réalisées.
La hiérarchisation technologique est approuvée, c'est elle qui détermine la position
de l'individu dans le procès technologique dans un large sens de ce terme.
Cette hiérarchisation tend à juger le rang d'une profession donnée en dépendance
de la garantie d'avoir la possibilité de prendre des décisions librement, d'avoir de
rinfluence sur son entourage, de gagner une meilleure renumeration, de déployer
ces propres concepts et initiatives, en dépendance également des perspectives que
ce rang crée, ainsi que des qualifications supérieures qu'il exige et de l'importance
sociale qu'il garantit.
Description
Sponsor
Digitalizacja i deponowanie archiwalnych zeszytów RPEiS sfinansowane przez MNiSW w ramach realizacji umowy nr 541/P-DUN/2016
Keywords
Citation
Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny 30, 1968, z. 1, s. 253-270
Seria
ISBN
ISSN
0035-9629