Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny, 1976, nr 4
Permanent URI for this collection
Browse
Browsing Ruch Prawniczy, Ekonomiczny i Socjologiczny, 1976, nr 4 by Author "Krantz, Wiesław"
Now showing 1 - 1 of 1
Results Per Page
Sort Options
Item Rzeczywista i preferowana lokalizacja zamieszkania na terenie miasta(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1976) Krantz, WiesławCet article est un essaie d'analyse des comportements d,es immigrants dans l'espace urbaine qui concernent le choix de lieu du logement dans le terrain de la ville. Le point de départ pour cette analyse sont les documents officiels („les cartels de registre des habitants") et avant tout les interviews par questionnaire faites avec 122 migrants qui sont venus à Szczecin en 1970 let 1974. Ces migrants étaient divisés en deux groupes: ceux qui habitent la partie centrale de la ville — le Centre et ceux de Pogodno-Sud, c'est-à-dire du quartier des villas avec dies espaces vertes et avec le degré inférieur de da densité urbaine que dans le Centre. On a posse deux questions de recherches: 1) Comment se formaient les choix réels de la localisation des immigrants au moment d'arriver à Szczecin? et pour quelle raison? 2) Comment se présentait l'attraction de diverses parties de la ville ainsi que le lieu de logement pour les migrants qui habitent quelque temps en ville? Ad 1. En s'appuyant sur les documents officiels — „les cartes de registre des habitants" on a constaté pour quelles catégories des migrants — de point de vue de dernier séjour (la ville, la campagne) le Centre ou le quartier Pogodno, étaient le premier „milieu d'habitable" à Szczecin. On a constaté qu'en 1970 ainsi qu'en 1974 environ 80% des migrants habitaient dans le 'Centre. Pourtant le pourcentage des migrants de la campagne et des villes avec l'indice démographique différent est presque analogue dans le Cehtre comme dans le Pogodno. Les migrants de la campagne forment un groupe le plus nombreux dans ces deux parties de la ville (environ 50%). Presqu'un quart ce sont les migrants de petites villes (jusqu'à 20.000 d'habitants), ensuite les migrants de villes moyennes (jusqu'à 100 mille d'nahitants) et enfin ceux qui sont venus de grandies villes. La plupart des migrants ne manifestaient pas les désirs précis concernant une localisation de domicile dams la partie concrète de la ville au moment d'installation. Surtout ceux qui ont été instalés à Szczecin en rôle de sous-locataire, étaient indifférents à »cet égard. Les migrants qui habitaient en rôle de propriétaire, de locataire générai, leur époux, montraient un certain intérêt pour le lieu d'habitation Ad 2. Après quelque temps de séjour en ville commence à se monter une certaine sélectivité dans lie choix de lieu du logement le plus attrayant. Elle s'est montrée chez les migrants (de 1970 (à peu près 5 ans de séjour en ville) comme chez ceux de 1974 (environ 1 an de séjour). Ce phénomène s'esit mis en relief avant tout dans la sphère de préférences révélées dans les réponses aux questions projectives que dans les comportements objectifs. Ces préférences sont caractéristiques. Les migrants qui habitent dans le terrain de Pogodno favorisent cette partie de la ville. Mais ceux du Centre commencent a privilégier les terrains situés loin de la cité. Cette tendance augmente parmi les migrants qui habitent depuis quelques ans à Szczecin. En prenant une grande prépondérence des (migrants de la campagne et de petites villes dans la population examinée en considération, on peut admettre que cette „évolution" des préférences concerne surtout cette catégorie de la population des migrants.