Browsing by Author "Tobis, Aleksander"
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Item Niektóre osobowe i penitencjarne determinanty powrotu do przestępstwa skazanych z art. 184 i 186 k.k. na karę pozbawienia wolności(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1978) Tobis, AleksanderL'article présente les effets des recherches, dont le but était l'établissement des circonstances ayant l'influence sur la récidive des condamnés pour le maltraitement des personnes proches et pour le fait de se soustraire à l'alimentation (l'art. 184 et 185 du c.p.). On a embrassé de l'examen les deux populations des condamnés, qui ont accompli la peine privative de liberté et en 1974 ont quitté rétablissement pénitenciaire à Stargard de Szczecin et à Poznań. Les effets des examens ont été conçus en forme tabellaire (16 tableaux statistiques) et aussi en forme de la discussion des données mises en évidence sur les tableaux. Un rang des circonstances examinées n'a pas montré de la liaison avec la récidive des condamnés au maltraitement des personnes proches ou à la continuation du fait de se soustraire à l'alimentation au profit des personnes ayant droit. A ces circonstances il faut compter: l'âge des condamnés au moment de quitter l'établissement pénitenciaire — par rapport aux -condamnés de l'art. 184 du c.p.; le niveau de la formation des condamnés; l'état civil des condamnés; la posséssion ou non- - posséssion des enfants et leur nombre; la punissabilité disciplinaire et l'obtention des prix au cours de l'exécution de la peine — concernant des condamnés de l'art. 186 du c.p. Aux déterminants vérifiés de la récidive ont a compté: l'âge au moment de quitter l'établissement pénitenciaire — 31-40 ans — par rapport aux condamnés de l'art. 186 du c.p.; la punissabilité judiciaire anticipante des condamnés; l'exécution de la peine — ne concerne pas des condamnés de l'art. 184 du c.p. La conclusion finale comprend la thèse que la peine privative de liberté est efficace en ca 70% par rapport aux condamnés de l'art. 184 du c.p. On ne peut pas présenter une thèse semblable à l'adresse des condamnés de l'art. 186 du c.p. à cause de la divergeance trop grande des effets obtenus des examens.Item Pobudki przestępczego działania recydywisty(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1965) Tobis, AleksanderItem Poszukiwanie alternatyw dla kary pozbawienia wolności — ujęcie prawno porównawcze(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1986) Tobis, AleksanderThe article is divided into four parts. The first one discusses the efforts of the Committee of Delinquency Problems, the organ of the Council of Europe, in the field of organizational and scientific actions concerning the problems of searching alternative means to deprivation of liberty punishment. Several recommendations and resolutions were passed. Also the socialist States undertook certain efforts in order to avoid application of the deprivation of liberty punishment,. It was expressed at the conference of the representatives of ministries of justice, which took place in September 1981. The second part is the analysis of reasons justifying the search for the new forms of fighting the crime. The arguments quoted most often are: economic considerations, lost trust in the effectiveness of punishment of deprivation of liberty, continuing social disintegration of the persons sentenced to a prison term, psychological, sociological, pragmatic and humanitarian considerations. The third part is devoted to the comparative law review of the solutions alternative to deprivation of liberty punishment,, i.e. the means of a traditional character: fine, conditional sentencing in variants, as well as newer solutions, like reformatory labor, other forms of labor for social goals, deprivation of a driving licence, forfeiture of property, interdiciton of excercising a specified profession, protective supervision, penalty of restricted liberty, pedagogical means, and others. The whole of discussion is concluded in the fourth part of the article with the regard paid to the Polish solutions.Item Propozycje zmian uregulowania warunkowego przedterminowego zwolnienia z odbywania kary(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1985) Tobis, AleksanderThe article on propositions of changes in a regulation of conditional release from serving the full sentence dwells on the more substantial propositions of changing the relevant provisions of the Penal Code and Punishment Execution Code. The project of amendments was published by the Commission of the Ministry of Justice in 1981. The article concerns specifically the grounds of applying the conditional release, minimum limits of serving a sentence, persional range in applying that institution, substitutive penalty and conditional release of recidivists. The article postulates different propositions of wording of art. 90 of the penal Code, modifying minimum periods of serving a sentence, certain new rights to be granted to penal institutions administration and relates to the remaining problems.Item Rola ustawy z dnia 12 X 1994 r. w ochronie obrotu gospodarczego(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1995) Tobis, AleksanderThe paper focuses on the role of the bill of 12 October 1994 (Journal of Laws no 126 item 615) on the protection through penal law of economic turnover in Poland. In particular, principles regulating new types of crimes and offences such as property damages caused to an individual or a company, abuse of confidence, obtaining, on false pretences, of a bank loan, loan guarantee, grant, subsidy or other public funds etc. The construction of the offences relating to false pretences has been compared with those of the crimes of fraud. Further, crimes related to insurance fraud, crimes against creditors and offences leading to a disruption of tender are described. "Money laundering" has been separately discussed. The manner in vhich the bill has been drafted is being criticised and the paper also criticises its legislative methodology. The bill should become an integral part of the new penal code.Item Rola wytycznych Centralnego Zarządu Zakładów Karnych w prawie penitencjarnym(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1982) Tobis, AleksanderGuidelines published under the rule of the Interim Regulations of Imprisonment Sentence Execution of 25 Jan. 1974 are discussed An this article. The guidelines are considered to be intradepartamental by-laws. In connection with the above the following are at issue: counteracting and fighting negative aspects of penitentiary subculture, deviations from the regulations in case of the sentenced women, execution of imprisonment of juvenile delinquents, execution of imprisonment of inadverent offenders, sentenced of burglary, contacts of the sentenced with their relatives. The author presents a classification of guidelines. Their contend; is also discussed in aspect of their formal proclamation, as well as on account of the legislational work on new executive criminal law. Guidelines infringing the right of sentenced to proper execution of their criminal penalty are criticized. The author delimits a scope of possible inclusions of guidelines to the Regulations of the Execution of Imprisonment Sentence which are being created.Item Samoistna kara dodatkowa(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1973) Tobis, AleksanderLe code pénal de 1969 a introduit à l'art. 55 l'institution — jusqu'à présent inconnue — de prononcer des peines complémentaires parfaitement indépendantes. La statistique judiciaire montre cependant, que les tribunaux ne profitent que très rarement de cette disposition en pratique. L'article entreprend dans un essai d'examiner des causes de cet état de choses, en attirant l'attention d'abord sur la construction de la disposition et sur le phénomène de l'opportunisme observé parfois en pratique en train d'introduction de nouveau. Dans le cadre d'examiner la construction de l'art. 55 le point de départ est le texte en vigueur de la disposition, dont ils s'ensuivent des prémisses convenables de son application, la sphère objective et subjective. De plus on touche ici une question de l'exclusion de groupes déterminés des criminels de profiter de l'art. 55 et de liaisons de cet article avec l'article 50 du c.p. réglant généralement le problème du montant de la peine. Enfin, toujours s'appuyant sur les termes de la disposition, l'article analyse la possibilité de réaliser les buts de la peine par l'application de telles peines complémentaires entrant en jeu, comme la déchéance de la puissance paternelle et de tutelle, Tinter diction d'occuper des postes déterminés, d'exercice de la profession déterminée ou de mener des activités déterminées, l'interdiction de conduire des véhicules mécaniques, la confiscation des objets provenant de l'infraction ou de la production défendue, possession, trafic ou transport ou la confiscation des outils ou d'autres objets, qui servaient ou étaient destinés à commettre une infraction. Tout en contexte de la possibilité de réaliser le but retributtif de la peine et de ses buts prospectifs. L'analyse de la disposition a démontré ses défauts, et c'est pourquoi l'article embrasse les propositions d'une nouvelle formulation de l'art. 55 du c.p., en considérant que ses termes actuels constituent l'une des sources de sa faible exploitation en pratique judiciaire. Pour complementer on a examiné aussi une statistique judiciaire du point de vue de mettre en relief toutes les cathegories des infractions, qui permettaient d'appliquer par le tribunal l'article 55, et ce que le tribunal n'a pas fait. Le tableau relatif montre, qu'en 1971 il y avait plus que cent mille condamnations qui permettaient aux tribunaux d'appliquer l'artice 55, cependant on ne l'a appliqué que dans 51 cas. En conclusion l'article met en avant une thèse que — outre des défauts de construction — une cause de l'inertie de lart. 55 du c.p. c'est peut-être le phénomène de l'opportunisme se manifestant en pratique judiciaire sur le fond de nouvelles institutions du droit pénal.Item Spory o koncepcję wymiaru kary(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1976) Tobis, AleksanderL'article est consacré à la problématique de la conception du montant judiciaire de la peine importante theoriquement et pratiquement — sur le fond des dispositions du code pénal de 1969. Après avoir discuté le bagage de la doctrine et de la jurisprudence de la Cour Suprême dans cette sphère, l'auteur constate qu'elles se sont formées trois conceptions essentielles du montant de la peine: de l'équivalence des directives du montant de la peine (les partisans: Zbigniew Kubec, Igoir Andrerjew, Witold Świda, Tomasz Kaczmarek, Jerzy Śliwowski); la conception de da domination d'une des directives préventives (Kazimierz Buchała, Adam Krukowski, Andrzej Zoll): la conception de la priorité des directives du degré du danger social de (l'acte (Władysław Wolter, Władysław Macior, Jan Bednarzak). Beaucoup d'arguments présentés par des auteurs particuliers il faut reconnaître comme justes. Les lapinions particulières cependant possèdent le caractère trop peu élastique en abordant les problèmes du montant de la peine. Dans cette sphère il faut prendre en (égard l'ensemble de tels facteurs comme la formulation convenable de la loi, les indications résultant de la justification du projet du code, les raisons criminelles-politiques, le moyen de l'interprétation de l'article 50 du. code pénal et les questions praxéologiques. En Maison à cela l'auteur est d'avis, que la conception la plus convenable doit être la conception universaliste de la conception du montant de la peine, c'est-à-dire l'exercice par le tribunal de chaque possible à accepter théoriquement et pratiquement directive et de leurs combinations. L'idée directrice de la punition du délinquant criminel peut être le résultait de la somme des directives législatives, peut être le résultant de quelques d'eux, peut être appuyée sur seulement une directive, ou enfin peut être le résultait de la modification de la directive du degré du 'danger social de l'acte par les directives préventives, ou vice versa. Peu impotrtantes sont les disputes sur la domination des directives. Plus important est le problème du choix de la directive (ou leurs combinations) du montant de la peine. Dans quelques cas les directives (du montant de la peine impose le législateur lui-même (mineurs, adolescents, récidivistes), parfois la Cour Suprême fait cela dans les directives (dans les affaires concernant la violation, les infractions de route et concernant le montant de la peine, concernant l'accaparement des biens sociaux de la valeur importante). Dans la question si considérable comme le choix de l'idée (directrice de la punition du délinquant se fait le progrès essentiel au cours des dernières années. Car on rencontre le phénomène de la catégorisation de quelques infractions, de quelques peines et circonstances, qui sont soumises au § 2 de l'article 50 du code pénal. La doctrine et la jurisprudence de la Cour Suprême ont contribué généralement á cela. La conception universaiiste (du montant de la peine recommandée par l'auteur possède de la chance à réussir en pratique, quand malgré la rédaction defective de l'article 372 du code de procédure pénale les tribunaux justifieront par écrit leur opinion dans la question du choix de la directive et des circonstances ultérieures, et même de la direction de l'exécution de la peine (l'article 82 du code pénal).Item Środki depenalizacji i ograniczania izolacji więziennej(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1987) Tobis, AleksanderThe article concerns the world development of the criminal law policy tendency to avoid measures connected with the prison isolation and to abondon criminal proceedings in specific situations defined by law. The author discusses legal solutions and practical applications of measures denoted by the term „diversion" on an international scale (XIIIth Congress of AIDP and the activity of the European Committee for Delinquency Problems, an organ of the Council of Europe). The examples of national laws concerned Community Service and Cautioning in England/ Wales and gemeinnützige Arbeit and concialiatory proceedings in the FRG. The introduction contains terminological explanations and the summary — general evaluations and postulates.Item Ważniejsze propozycje zmian kodeksu karnego wykonawczego w odniesieniu do kary pozbawienia wolności(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1983) Tobis, AleksanderThe article discusses changes of legal state pertaining execution of deprivation of liberty which are proposed by the Committee, specially appointed by the Minister of Justice, to be introduced in the Polish punishment execution code. The author submits- his remarks on the proposed changes and suggests his original legal regulation of some executory problems proving it with reasons. The following questions are dealt with in the article: changes of sec. 37 of the punishment execution code (hereinafter called the p.e.c.) and of sec. 80 of the penal code (hereinafter called the p.c.) concerning teleological aspects of execution of deprivation of liberty penalty. The author seeks to eliminate double regulating these questions in the p.e.c. and the p.c. The new content of sec. 37 of the p.e.c. is proposed with the allowance made, apart of general resocializing premises, for the certain marigin of punitive treatment of condemned persons not requiring resocialization. Changes in the structure of penal institutions and in grounds for classification of the sentenced persons are also discussed. Two new institutions are to be created in that scope: for the persons sentenced for unintentional offences and for serving the arrest sentence in a case of a petty offence. According to their types penal institutions are to be divided into closed, semi-open and open ones. The criterion of character of an offence is to be eliminated in the classification while the elements related to the personality of a perpetrator are to be more emphasised; psychological and penitentiary examination of the sentenced persons are to be introduced on a wider scale. Sentenced persons have to enjoy more rights while serving their sentences, especially in executory proceedings, in enjoying and exercising religious practices, in self-education, in including, under some conditions, the periods of employment to old age pensions, in extending periods of a rest leave, in assistance in the social adaptation upon release from a penal institution etc. The problem of means of penitentiary treatment: of work, education, cultural and instructional classes as well as of rewards and disciplinary proceedings are also discussed in the article. The article is closed with conclusions and proposition of egal regulation.Item Wnioski więźniów w postępowaniu o warunkowe zwolnienie(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1968) Tobis, AleksanderLa première partie de l'article concerne le problème de la genèse des démarches en vue d'une libération conditionelle. En fonction des études pratiques effectuées dans les prisons (1000 actes de demandes de liberté conditionelle de la voïvodie de Poznań, on définit la structure, exprimée en chiffres absolus et en pourcentage, des motions des personnes autorisées par les prescriptions de la loi sur la libération conditionelle (l'accusé, la défense, l'administration de l'établissement pénal, le procureur, le tribunal et des personnes non autorisées (l'épouse ou l'époux, les parents, d'autres membres de la famille les étrangers). On a fait également des remarques sur l'état de choses, découlant des études partiques, en ce qui concerne la confrontation des prescriptions obligatoires et des lois sur la liberté conditionelle. Dans la deuxième partie de l'article, ont été analysés les textes des motions pour une libération conditionelle, établies par les accusés. On a surtout étudié les informations qui pouvaient aider la cour à prendre une décision à ce sujet. Ces études ont été menées sur les groupes de circonstances suivantes: le passé de l'accusé (les données autobiographiques jusqu'au moment de l'emprisonnement) le délit, la procédure pénal, le jugement et la peine infligée; le purgement de la peine dans rétablissement pénal; la personnalité de l'accusé, les circonstances strictement personnelles; les conditions matérielles de l'accusé et de sa famille; les conditions familiales; les conditions d'existence et d'autres perspectives pour l'accusé après la libération provisoire; autres.Item Wywiady i opinie milicji, zakładów pracy i rad narodowych jako podstawa orzeczeń o warunkowych zwolnieniach(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1969) Tobis, AleksanderLes enquêtes et les opinions de la Milice et des Conseils Populaire sur les presonnes qui tâchent d'obtenir la liberation conditionnelle, comme la base des décisions du tribunal, ont une grande signification, car elles dérivent des organes officiels. Les opinions des établissements du travail, en majorité dirigés par des personnes acceptées par des autorités d'Etat et du parti possèdent aussi une grande autorité pour la décision du tribunal. La participation des enquêtes de la Milice dans le complètement des bases des décisions sur les liberations conditionnelles atteignait 15,77% des affaires du groupe examiné. Le tribunal pénitentiaire le plus souvent profitait des enquêtes de la Milice par l'intermédiaire des dossiers des affaires criminelles, à la deuxième place grâce aux efforts de l'administration des établissements pénaux et il agissait d'office. Les nombres correspondants et leur qualification on a contenu dans le texte principal. L'analyse du contenu des enquêtes de la Milice mène à la conclusion, que le plus souvent on citait les suivants groupes de problème des circonstances: les particularités personnelles (les relations personnelles, les traits de la personnalité y compris); déterminant le mode de vie de la personne qui tâchait d'obtenir la libération conditionnelle; déterminant l'opinion du milieu du domicile et du travail; les conditions de famille; les conditions de fortune du condamné et de sa famille. Le texte de l'article discute les proportions et la signification des circonstances susmentionnées. En 17,58% des affaires sur la libération conditionnelle le tribunal pénitentiaire possédait des opinions des établissements du travail sur le condamné, l'ancien! travailleur de ces établissements. Le plupart des opinions a été obtenue par l'intermédiaire des dossiers des affaires pénales. L'article présente la structure des nombres dans ce domaine. Le contenu de l'opinion des établissements du travail, parmi les circonstances utiles pour le tribunal pour rendre la décision, se concentrait surtout sur les problèmes: de la relation au travail du condamné, de ses particularités personnelles (les traits de la personnalité y compris) et de son comportement sur le terrain de l'établissement du travail. Le tribunal possédait des enquêtes des Conseils Populaires seulement en 8,64% des affaires. La source principale de ces enquêtes étaient des dossiers de procès. Là, on a contenu des nombres correspondants, démontrant la structure des observations obtenues et les remarques sur leur sujet. Parmi les groupes de problème des circonstances mentionnées dans les enquêtes des Conseils Populaires le plus souvent de présentaient des circonstances qui caractérisaient: les particularités personnelles du condamné (les traits de la personnalité y compris), l'opinion régnant dans le milieu de l'habitation et du travail, les conditions de fortune du condamné et de sa famille, le mode de vie et les conditions de famille. On a fait aussi un nombre de remarques sur la division des enquêtes sur aeux catégories. 1 - sur les informations actualisées sur le condamné de la période de la commission de l'infraction par lui et 2 — de la période où il tâchait d'obtenir la libération conditionnelle et de plus sur les possibilités pratiques et les essais de solutions, pour assurer au tribunal pénitendiaire le maximum d'informations sur le condamné. On a aussi consacré quelques phrases aux opinions des autorités militaires, aux organisations socio-politiques et aux écoles. Dans la partie finale l'article contient une annexe, composée de trois tableaux statistiques, groupant le matériel direct, positif, obtenu des enquêtes et opinions élaborées.Item Z rozważań nad istotą warunkowego umorzenia postępowania karnego(Wydział Prawa i Administracji UAM, 1974) Tobis, AleksanderLe code pénal de 1969 a introduit une nouvelle institution inconnue jusque là, la suspension conditionnelle de la procédure pénale. L'utilisation dans la pratique pendant quelques années de cette institution montre que les procureurs et les tribunaux s'y réfèrent assez souvent, toutefois ils ne comprennent pas toujours d'une façon adéquate son sens crimino-politique. Ceci est dû entre autres aux controverses concernant la définition précise de l'essence de la suspension conditionnelle de la procédure, qui se manifestent dans la doctrine. L'article tente de répondre à la question qui est de savoir ce qu'est l'institution de la suspension conditionnelle de la procédure pénale du point de vue de la forme et de la matière. On a présenté dans l'article trois groupes de conceptions touchant à la suspension conditionnelle de la procédure: 1) celles qui la considèrent comme une forme de condamnation, 2) celles qui voient en elle une forme particulière de responsabilité pénale, 3) celles qui l'englobent dans les formes de responsabilité non pénale de l'auteur. Ces conceptions ont fait l'objet d'une analyse et d'un jugement critique. A l'encontre des deux premières conceptions vient l'interprétation systématique des normes du code pénal. Une série d'institutions du code ont reçu leurs propres devoirs crimino-politiques et parmi elles la suspension conditionnelle de la procédure. Il est impossible de trouver un élément pénal quelconque au sein des disposition définissant cette institution. De ce fait une interprétation différente conduit à la violation de la règle „lege non distenguente nec nostrum est distenguere". Les deux premières conceptions ne sont pas non plus justifiées par le genre de procédure dans lequel on aboutit au prononcé de la disposition. Le côté formel ne peut influer d'une façon décisive sur le contenu d'une institution. Dans la procédure pénale par exemple, on applique des mesures de sûreté envers des personnes irresponsables ou des mesures éducatives correctionnelles envers des mineurs et malgré cela on ne considère pas ces mesures comme „pénales". L'article donne d'autres arguments. La troisième conception est combattue entre autres sur le plan de l'interprétation de la problématique de la responsabilité, de la non prise en considération du fait que l'on peut parler de l'acte de faire encourir la responsabilité pénale" dès la présentation des griefs au prévenu ainsi que de la caractéristique impropre des mesures appliquées envers l'auteur du délit pendant la période d'épreuve. L'application de ces mesures ne peut compenser l'acte et d'autre part il est difficile de dire qu'ils répondent à la notion de „responsabilité de resocialisation" ou similaire. Tout simplement ces mesures ne réalisent aucune responsabilité, il faut les considérer comme des mesures d'action sociale, et il y a une série d'arguments en faveur de cette conception. En conclusion l'article constate que la suspension conditionnelle de la procédure pénale du point de vue de la forme, consiste en une interruption de la procédure pendant une période d'épreuve imposée à l'auteur du délit, après quoi selon le résultat elle peut être reprise ou arrêtée définitivement; la période d'épreuve peut être accompagnée de certaines obligations envers l'auteur ou d'un cautionnement. Du point de vue de la matière cette institution revient à éluder la détermination et l'exécution de la responsabilité pénale de l'auteur pour des motifs crimino-politiques, à condition qu'il exécute les obligations qui lui ont été imposées et qu'il respecte l'ordre judiciaire. La suspension conditionnelle de la procédure est l'expression de la renonciation (conditionnelle) au droit de punir, appartenant à l'état (ius puniendi) envers l'auteur d'un délit.